Ce que les études nous disent sur l’enrichissement de l’environnement

Dans cet article, je vous propose plusieurs résumés de recherches sur un thème spécifique, ici : l’enrichissement.

Le jeu chez le cheval adulte

Une étude américaine s’est penchée sur la faculté des chevaux adultes à adopter encore des traits juvéniles. Le résultat a montré que même les vieux chevaux se sont intéressés aux jouets, une piste de recherche intéressante qui pourrait influer sur notre vision de l’apprentissage.
SUITE DE L’ARTICLE

Les jeunes chevaux semblent capables d’apprendre en regardant

Ce n’est pas la première fois que des études se penchent sur la question, mais les résultats étaient plus discordants. Dans cette étude allemande, il ressort que les jeunes chevaux sont davantage capables d’apprendre par observation.
SUITE DE L’ARTICLE

Faire face à des objets effrayants : quand les mères sont habituées, les poulains suivent plus calmement

Des chercheurs ont étudié 22 futures mères qu’ils ont divisé en deux groupes. Un des groupes a été exposé à des objets effrayants avant la mise bas. Quand les poulains ont eu 2 moins, les chercheurs les ont exposés à ces objets. Pour le groupe de juments qui connaissaient ces objets, et en voyant réagir leur mère, les poulains se sont montrés beaucoup moins craintifs.
SUITE DE L’ARTICLE

De l’intérêt d’enrichir l’environnement

Une étude française a montré que les chevaux qui vivent dans un environnement enrichi développent une meilleure personnalité, montrent une plus grande capacité d’apprentissage et montrent un meilleur niveau de bien-être.
SOURCE : Behavioral and Transcriptomic Fingerprints of an Enriched Environment in Horses

Augmenter le bien-être des chevaux hospitalisés

Une étude française a observé que les chevaux hospitalisés bénéficiant d’un environnement enrichi (pierre à lécher, présence d’un voisin, brosse pour se gratter, sortie en main etc.) ont été plus faciles à manipuler pendant les soins, ont eu moins de complications, d’inflammation et des signaux de douleur amoindris.

Les comportement stéréotypés ont également été beaucoup plus faibles chez les chevaux « enrichis » que les chevaux hospitalisés normalement.
SUITE DE L’ARTICLE